Levée de fonds

Santé Cannabis est en péril et nous avons besoin de votre aide. En raison d’un grave manque de financement, Santé Cannabis doit réduire ses services afin d’être en mesure de poursuivre ses activités.

Santé Cannabis est la seule clinique de cannabis médical publique et gratuite au Québec, et prend actuellement en charge la moitié de tous les patient·e·s qui utilisent du cannabis médical *sous prescription* au Québec.

Mais les services cliniques relatifs au cannabis médical ne sont pas suffisamment financés par le système de santé public. Santé Cannabis fait face à une augmentation de ses dépenses en raison de la COVID-19 ainsi qu’à une réduction importante du financement de l’industrie du cannabis.

Nos patient·e·s dépendent de nous. 

Aidez-nous à poursuivre nos services cliniques essentiels et faites-en un enjeu pour le prochain gouvernement du Québec.

Comment vous pouvez nous aider :

  1. Contribuez à notre campagne de financement
  2. Partagez notre message avec votre réseau
  3. Envoyez-nous un témoignage
  4. Continuez avec nous et achetez votre cannabis médical auprès de vendeurs autorisés
  5. Soyez patient·e avec nous pendant cette période difficile

Faire un don

POURQUOI LE CANNABIS MÉDICAL EST-IL TOUJOURS NÉCESSAIRE MAINTENANT QUE LE CANNABIS EST VENDU LÉGALEMENT? 

  • Les patient·e·s qui prennent du cannabis à des fins médicales ont besoin d’éducation et de suivi que les employés des magasins de cannabis ne sont pas aptes à offrir.
  • Les populations vulnérables ont besoin d’un soutien professionnel personnalisé pour s’assurer qu’elles utilisent le cannabis de manière sécuritaire et appropriée.
  • Les autorisations de cannabis médical offrent une protection aux personnes qui en dépendent pour travailler, vivre et prendre soin de leur famille.
  • Les enfants et les adolescents vivant avec certaines conditions médicales comme le cancer, l’épilepsie pharmacorésistante et l’autisme ne peuvent avoir accès au cannabis qu’à des fins médicales et doivent recevoir un accompagnement médical personnalisé.
  • Le cannabis médical est remboursé pour certain·e·s patient·e·s, notamment à travers Anciens Combattants Canada, la CSST, la SAAQ et les comptes de dépenses de l’assurance maladie.
  • Les patient·e·s qui cultivent leur propre cannabis doivent obtenir une autorisation médicale, surtout au Québec où la culture à domicile est interdite.
  • Certains produits précis destinés à un usage médical ne sont pas disponibles à la SQDC et ne peuvent être obtenus que sur autorisation médicale.
  • Le cannabis acheté à des fins récréatives ne peut pas être déclaré comme une dépense médicale dans les impôts.
  • Les médecins, les infirmier·ère·s praticien·ne·s spécialisé·e·s et les pharmacien·ne·s identifient les facteurs de risque potentiels et les interactions médicamenteuses qui doivent être surveillés.

L’importance de Santé cannabis
pour les patient·e·s

« J’ai des douleurs arthritiques très sévères et il ne me reste plus de cartilage dans les épaules. Je souffre de douleurs chroniques et aiguës depuis 16 ans… Le personnel de Santé Cannabis a été mon soutien et ma bouée de sauvetage. C’est une nécessité médicale pour moi, pas un luxe. Le cannabis médical améliore ma qualité de vie et je reçois un remboursement partiel sur mes impôts. La fermeture de la clinique serait un désastre. »

– AK

« Je suis une personne très souffrante physiquement et si j’avais pris le cours normal des choses, sans avoir accès au cannabis médical, je devrais prendre de la morphine tous les jours. Avant d’être à Santé Cannabis, j’utilisais déjà le cannabis pour ma douleur et je n’avais pas de déduction d’impôt. Pourtant, je l’utilise comme médicament depuis des années, mais sans support. »

– GT

« Vous vous adressez à un groupe de gens particulièrement vulnérables qui ont besoin non seulement de soins, mais d’un suivi serré pour gérer leur médication de cannabis. Nous ne pouvons évidemment pas utiliser du cannabis à des fins médicales à l’aveuglette. Je me trouve fragilisée devant votre manque de ressource et les difficultés que vous rencontrez. C’est une question de gros bon sens et de santé publique. »

– MM